Mardi 06/05/2025
Un petit exercice de fiction aujourd’hui, ça repose l’esprit et c’est plaisant…
Le réveil se mit à sonner, Léa ouvrit un œil, bientôt suivie de son frère Sigfried. Dans la même rue, d’autres fenêtres s’allumaient, au même instant, donnant aux façades un air de mosaïques bariolées dans la pénombre du petit matin. Léa et Sigfried étaient lycéens, dans des niveaux de classe différents. Lorsqu’ils sortirent de chez eux à l’heure habituelle, ils se rendirent compte que quelque chose avait changé depuis la veille, mais il était difficile de savoir quoi. Ils s’engagèrent dans la rue de ce centre-ville un peu poussiéreux, la suivirent comme à l’accoutumée pendant dix minutes environ. Ils arrivèrent sur la grande place où ils furent rejoints par leurs amis Melchior et Saana. Quelque chose assombrissait l’horizon, mais quoi ? Ils poursuivirent leur route jusqu’à la rivière, et là, au-delà des arbres de la rive opposée, ils aperçurent ce qui avait changé : un mur, ou plutôt une muraille colossale se dressait au loin, semblant encercler la ville. Quel prodige avait pu avoir lieu cette nuit ? Comment un tel édifice avait-il pu être construit aussi vite, et dans quel but ? Ils se regardèrent, interdits. Puis Melchior prit la parole : « Et si nous allions voir de quoi il s’agit ? » Ses compagnons semblaient ne pas avoir entendu.
Pour une fois, il me faudra poursuivre demain...
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